La Maturité

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Retranscription de l'un des cahiers du CRD, trouvé sur le toit du bâtiment du Tokotah:  
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Retranscription de l'un des cahiers du [[:Catégorie:Comité de Restauration de D'Ni|CRD]], trouvé sur le toit du bâtiment du [[Ae'Gura - Tokotah|Tokotah]]:  
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<br>"Comme de nombreuses autres cultures, les D'ni fêtaient l'entrée des enfants dans l'âge de raison et la maturité. Les D'ni pensaient que la véritable maturité, où l'âge de Raison comme ils l'appellaient, était à l'âge de 25 ans. Avant cela, les D'ni croyaient que les esprits et les coeurs des enfants n'étaient pas complètement formés. Ils allaient même jusqu'à dire à cette époque qu'il est impossible à une enfant de prendre véritablment une bonne décision parce qu'il était trop facilement dominé par d'autres intérêts. Cela ne voulait pas dire qu'il n'agissait pas bien ou mal, mais les D'ni croyaient que Yahvo ne le tenait pas responsable de ces décisions. A cette époque il revenait aux parents de le juger et de le protéger, ce qui constituait une autre raisosn pour laquelle la société incitait les couples à n'avoir qu'un enfant de moins de vingt-cinq ans à la fois.
 
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<br>"Par la "cérémonie de maturité", les D'ni fêtaient l'entrée de l'enfant dans l'âge de raison et la maturité.  
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Comme dans de nombreuses autres cultures, les D'ni fêtaient l'entrée des enfants dans l'âge de raison et leur maturité. Les D'ni pensaient que la véritable maturité, ou l'âge de Raison comme ils l'appellaient eux mêmes, était à l'âge de 25 ans. Avant cela, ils croyaient que les esprits et les cÅ“urs des enfants n'étaient pas complètement formés. Ils allaient même jusqu'à dire que jusqu'à ce qu'ils atteignent cet âge, il était impossible à un enfant de prendre véritablment une bonne décision, car il était encore trop facilement dominé par d'autres intérêts. Cela ne voulait pas dire qu'il n'agissait pas en bien ou en mal, mais les D'ni croyaient que [[La Religion#Yahvo|Yahvo]] ne le tenait pas responsable de ses décisions. à‚¬ cette époque il revenait aux parents la charge de l'éduquer et de le protéger, une autre raison pour laquelle la [[:Catégorie:Société D'ni|société]] incitait les couples à n'avoir qu'un enfant de moins de vingt-cinq ans à la fois.  
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Pendant cette cérémonie, l'enfant recevait un bracelet de connaissance (également traduit maturité). Je dois reconnaître que la traduction est assez pauvre et laisse penser à un objet un peu magique et superstitieux - que n'a pas le terme original. C'était en réalité un objet très sérieux. 
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Les D'ni voyaient le bracelet comme un signe de responsabilité. Une fois qu'il avait reçu le bracelet, l'individu devait être en mesure de répondre de ses actions en tant qu'ayant la véritable connaissance du bien et du mal et la sagesse de faire le bon choix entre les deux. Certains droits étaient associés au bracelet ainsi que l'exigence de se comporter d'une manière plus convenable.  
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<br>"D'un point de vue religieux, la "cérémonie de maturité" marquait la responsabilité envers Yahvo comme envers les concitoyens D'ni. Les parents n'étaient alors plus jugés pour les actions de leurs enfants, et l'ignorance n'était plus une excuse vis à vis de Yahvo. Le Créateur, croyaient-ils, attendait désormais beaucoup plus d'eux.  
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Par la "cérémonie de maturité", les D'ni fêtaient l'entrée de l'enfant dans l'âge de raison et la maturité.
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Pendant cette cérémonie, l'enfant recevait un bracelet de "connaissance" (objet qu'il faut prendre très au sérieux et qui n'avait pas cette connotation supersticieuse que nous pourrions lui accorder).
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<br>Les D'ni voyaient le bracelet comme un signe de responsabilité. Une fois qu'il avait reçu le bracelet, l'individu devait être en mesure de répondre de ses actions en ayant la véritable connaissance du bien et du mal, et la sagesse de faire le bon choix entre les deux. Certains droits étaient associés au bracelet en plus de l'exigence de se comporter d'une manière plus convenable.  
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<br>"Même si l'âge de raison était 25 ans, les D'ni pensiaent que la véritable sagesse ne venait que bien plus tard. Avec beaucoup moins de tapage que n'apportait l'âge de raison, une fête avait lieu à 125 ans ans lors de l'atteinte de l'âge de sagesse. Cela permettait surtout, concernant ce statut, aux D'ni de prétendre aux plus hauts rangs des enseignants ou des dirigeants (Grands Maîtres ou Seigneurs).  
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<br>D'un point de vue [[La Religion#Concepts Religieux de Base|religieux]], la "cérémonie de maturité" marquait la prise de responsabilités de l'individu envers Yahvo comme envers ses concitoyens D'ni. Les parents n'étaient alors plus jugés pour les actions de leurs enfants, et l'ignorance n'était plus une excuse vis à vis de Yahvo. Le Créateur, croyaient-ils, attendait désormais beaucoup plus d'eux.
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Les mêmes règlements valaient pour les femmes et aucune femme de moins de 125 ans n'était techniquement aurorisée à conseiller, les rois en particulier. Il semble également que la fécondité des femmes prenait fin autour de 125 ans.  
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<br>"A l'époque des Rois on assignait des conseillers aux rois qui n'avaient pas atteint l'Age de 125 ans parce que le roi n'avait pas atteint l'âge de sagesse. Le Grand Roi Ahlsendar fut le seul Roi qui n'eut pas de conseiller officiel alors même que la plus grade partie de son règne se déroula avant l'Age de Sagesse."
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Même si l'âge de raison était à 25 ans, les D'ni pensaient que la véritable sagesse ne venait que bien plus tard. Avec certes beaucoup moins de tapage que ne l'apportait l'âge de raison, une fête avait lieu à 125 ans ans lors de l'atteinte de l'âge de sagesse. Cela permettait surtout, aux D'ni de prétendre aux plus hauts rangs des enseignants ou des dirigeants (Grands Maîtres ou Seigneurs).  
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<br>Les mêmes règlements étaient en rigueur pour les femmes et aucune femme de moins de 125 ans n'était techniquement aurorisée à tenir le rôle de conseillère, des rois en particulier. Il semble également que la [[La Grossesse|fécondité]] des femmes prenait fin autour de 125 ans.  
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[[Catégorie:Société D'ni]]

Version actuelle en date du 22 septembre 2024 à 11:00

Retranscription de l'un des cahiers du CRD, trouvé sur le toit du bâtiment du Tokotah:


Comme dans de nombreuses autres cultures, les D'ni fêtaient l'entrée des enfants dans l'âge de raison et leur maturité. Les D'ni pensaient que la véritable maturité, ou l'âge de Raison comme ils l'appellaient eux mêmes, était à l'âge de 25 ans. Avant cela, ils croyaient que les esprits et les cÅ“urs des enfants n'étaient pas complètement formés. Ils allaient même jusqu'à dire que jusqu'à ce qu'ils atteignent cet âge, il était impossible à un enfant de prendre véritablment une bonne décision, car il était encore trop facilement dominé par d'autres intérêts. Cela ne voulait pas dire qu'il n'agissait pas en bien ou en mal, mais les D'ni croyaient que Yahvo ne le tenait pas responsable de ses décisions. à‚¬ cette époque il revenait aux parents la charge de l'éduquer et de le protéger, une autre raison pour laquelle la société incitait les couples à n'avoir qu'un enfant de moins de vingt-cinq ans à la fois.

Par la "cérémonie de maturité", les D'ni fêtaient l'entrée de l'enfant dans l'âge de raison et la maturité. Pendant cette cérémonie, l'enfant recevait un bracelet de "connaissance" (objet qu'il faut prendre très au sérieux et qui n'avait pas cette connotation supersticieuse que nous pourrions lui accorder).
Les D'ni voyaient le bracelet comme un signe de responsabilité. Une fois qu'il avait reçu le bracelet, l'individu devait être en mesure de répondre de ses actions en ayant la véritable connaissance du bien et du mal, et la sagesse de faire le bon choix entre les deux. Certains droits étaient associés au bracelet en plus de l'exigence de se comporter d'une manière plus convenable.


D'un point de vue religieux, la "cérémonie de maturité" marquait la prise de responsabilités de l'individu envers Yahvo comme envers ses concitoyens D'ni. Les parents n'étaient alors plus jugés pour les actions de leurs enfants, et l'ignorance n'était plus une excuse vis à vis de Yahvo. Le Créateur, croyaient-ils, attendait désormais beaucoup plus d'eux.

Même si l'âge de raison était à 25 ans, les D'ni pensaient que la véritable sagesse ne venait que bien plus tard. Avec certes beaucoup moins de tapage que ne l'apportait l'âge de raison, une fête avait lieu à 125 ans ans lors de l'atteinte de l'âge de sagesse. Cela permettait surtout, aux D'ni de prétendre aux plus hauts rangs des enseignants ou des dirigeants (Grands Maîtres ou Seigneurs).
Les mêmes règlements étaient en rigueur pour les femmes et aucune femme de moins de 125 ans n'était techniquement aurorisée à tenir le rôle de conseillère, des rois en particulier. Il semble également que la fécondité des femmes prenait fin autour de 125 ans.


à‚¬ l'époque des Rois on assignait des conseillers aux rois qui n'avaient pas encore atteint l'âge de 125 ans parce qu'il n'avait pas atteint l'âge de sagesse. Le Grand Roi Ahlsendar fut le seul roi qui n'eut pas de conseiller officiel alors que la plus grande partie de son règne se déroula avant son "âge de sagesse".

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