La Grossesse

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<br>C'est vraiment surprenant. Je ne peux pas le certifier mais il est à peu près certain que les femmes D'ni n'étaient fertiles qu'un "jour" D'ni tous les deux "mois" D'ni. Ce qui correspond en gros à une trentaine d'heures tous les soixante douze jours en temps de la surface.
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Retranscription de l'un des cahiers du [[:Catégorie:Comité de Restauration de D'Ni|CRD]], trouvé sur le toit du bâtiment du [[Ae'Gura - Tokotah|Tokotah]].
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<br>Si c'est vrai, ça explique pas mal de choses. D'abord, qu'il y ait eu si peu d'enfants chez des gens qui pouvaient vivre trois cents ans et ensuite les grande fêtes de fécondité.
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<br>D'après ce que j'en sais, ces fêtes se limitaient aux membres de la famille mais étaient cependant assez grandes. Il y avait beaucoup de prières à Yahvo et des bénédictions des membres de la famille. Ces "bénédictions" comprenaient des promesses de soin pour la femme enceinte et l'enfant pour les mois à venir.  
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<br>Comme je l'ai indiqué à d'autres endroits, les femmes enceintes passaient pour plus intuitives et du coup une partie de l'expérience de la grossesse (mais pas la partie de la cérémonie officielle) utilisait cette intuition pour obtenit la révélation de Yahvo. Il y avait pas mal de méditation religieuse attendue des femmes pendant cette période, mais je ne rentrerai pas dans le détail. Cette méditation était tout de même attendue avant tout pour guider la femme vers l'avenir de son enfant et sa destinée et elle était prise très au sérieux.  
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<br>L'étude des textes D'ni semble révéler que les femmes D'ni n'étaient fertiles qu'un "jour" D'ni tous les deux "mois" D'ni. Ce qui correspond en gros à une trentaine d'heures tous les soixante douze jours.
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<br>Si cela était avéré de façon catégorique, beaucoup de choses pourraient être comprises. D'abord, qu'il y ait eu si peu d'enfants chez des gens qui pouvaient vivre trois cents ans. Deuxièmement pourquoi de telles fêtes étaient organisées pour les grossesses.
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<br>Ces fêtes se limitaient seulement aux membres de la famille bien qu'elles fussent très fastueuses. Pendant celles-ci, on priait [[La Religion#Yahvo|Yahvo]] et on recevait la bénédiction des familles. On faisait au cours de celle-ci le serment de s'occuper de la femme enceinte et du bébé pendant les mois à venir.
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<br>Si une grossesse au sein du mariage était beaucoup fêtée, on ne peut pas en dire autant d'une grossesse hors mariage. D'après ce que je sais, une femme qui tombait enceinte devait se marier immédiatement et un enfant né hors mariage ne pouvait plus jamais intégrer de guilde. Et on n'attendait aucune révélation d'une telle mère. C'était un peu comme la situation d'une femme de classe inférieure : son enfant ne pourrait jamais accéder à une Guilde d'une classe supérieure.  
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<br>Les femmes enceintes passaient pour plus intuitives et du coup l'expérience de la grossesse permettait d'utiliser cette intuition pour accéder à la révélation de Yahvo. Il y avait bon nombres de méditations religieuses effectuées par la femmes durant cette période. Cette méditation était tout de même prise très au sérieux, car elle devait permettre de guider la femme vers l'avenir de son enfant et sa destinée.
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<br>D'après ce que j'ai pu voir, la grossesse durait une année entière. Dix mois D'ni - 290 jours d'ni - équivalant à une année terrestre. Je n'ai pas vu de trace de naissance multiple.
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<br>Si on fêtait la grossesse au sein du mariage, on ne peut pas en dire autant d'une grossesse hors mariage. D'après ce que l'on sait, une femme qui tombait enceinte devait se marier immédiatement et un enfant né hors mariage ne pouvait plus jamais intégrer de [[Le Système des Guildes|guilde]]. Evidemment, on n'espérait aucune révélation d'une telle mère.  
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<br>Apparemment la grossesse durait une année entière. Dix mois D'ni (290 jours d'ni), l'équivalant d'une année terrestre. Nous n'avons aucune trace de naissances multiples.
[[Catégorie:Société D'ni]]
[[Catégorie:Société D'ni]]

Version du 2 décembre 2006 à 18:49

Retranscription de l'un des cahiers du CRD, trouvé sur le toit du bâtiment du Tokotah.


L'étude des textes D'ni semble révéler que les femmes D'ni n'étaient fertiles qu'un "jour" D'ni tous les deux "mois" D'ni. Ce qui correspond en gros à une trentaine d'heures tous les soixante douze jours.
Si cela était avéré de façon catégorique, beaucoup de choses pourraient être comprises. D'abord, qu'il y ait eu si peu d'enfants chez des gens qui pouvaient vivre trois cents ans. Deuxièmement pourquoi de telles fêtes étaient organisées pour les grossesses.
Ces fêtes se limitaient seulement aux membres de la famille bien qu'elles fussent très fastueuses. Pendant celles-ci, on priait Yahvo et on recevait la bénédiction des familles. On faisait au cours de celle-ci le serment de s'occuper de la femme enceinte et du bébé pendant les mois à venir.


Les femmes enceintes passaient pour plus intuitives et du coup l'expérience de la grossesse permettait d'utiliser cette intuition pour accéder à la révélation de Yahvo. Il y avait bon nombres de méditations religieuses effectuées par la femmes durant cette période. Cette méditation était tout de même prise très au sérieux, car elle devait permettre de guider la femme vers l'avenir de son enfant et sa destinée.


Si on fêtait la grossesse au sein du mariage, on ne peut pas en dire autant d'une grossesse hors mariage. D'après ce que l'on sait, une femme qui tombait enceinte devait se marier immédiatement et un enfant né hors mariage ne pouvait plus jamais intégrer de guilde. Evidemment, on n'espérait aucune révélation d'une telle mère.


Apparemment la grossesse durait une année entière. Dix mois D'ni (290 jours d'ni), l'équivalant d'une année terrestre. Nous n'avons aucune trace de naissances multiples.

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