Les Canons de la Guilde des Écrivains
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<br>Le Livre fà»t accepté dans le Canon après l'approbation unanime des sept membres les plus sages et connaisseurs de la guilde. Une cérémonie connue sous le nom de "Korfah V'jah" eut alors lieu pour honorer l'Ecrivain et pour inaugurer le Livre et sa connection. Cette cérémonie officielle se faisait en comité réduit, et était traditionnellement tenu sur l'âge de Yakul, le plus ancien des âges de la guilde, écrit par Ar'tenen, son premier Grand Maitre. Puis une cérémonie bien plus grandiose était célébrée plus tard, publiquement cette fois, sur l'âge nouvellement baptisé. | <br>Le Livre fà»t accepté dans le Canon après l'approbation unanime des sept membres les plus sages et connaisseurs de la guilde. Une cérémonie connue sous le nom de "Korfah V'jah" eut alors lieu pour honorer l'Ecrivain et pour inaugurer le Livre et sa connection. Cette cérémonie officielle se faisait en comité réduit, et était traditionnellement tenu sur l'âge de Yakul, le plus ancien des âges de la guilde, écrit par Ar'tenen, son premier Grand Maitre. Puis une cérémonie bien plus grandiose était célébrée plus tard, publiquement cette fois, sur l'âge nouvellement baptisé. | ||
- | <br>Il est bon de noter que [[Gehn]] tint un "Korfah V'jah" quand [[Atrus]] écrivit son premier Age, ''Commencement'', et qu'il appelait Â⫠cérémonie du premier livre Ââ». Il s'agissait selon lui d'une coutume employée par la Guilde des Ecrivains pour honorer un nouvel auteur. Cette allusion à une telle cérémonie est certainement une confusion de la part de Gehn, qui provient probablement de son manque involontaire de la culture D'ni, qui avait été détruite lorsqu'il n'était encore q'un enfant. On perçoit de nouveau à cette occasion l'orgueil et la vanité de Gehn, qui, de toute façon, n'était aucunement membre de la Guilde des Ecrivains (étant un apprenti [[Fabricant de Livres]]). On ne peut absolument pas dire que sa cérémonie relevait une quelconque position officielle. | + | <br>Il est bon de noter que [[Gehn]] tint un "Korfah V'jah" quand [[Atrus]] écrivit son premier Age, ''Commencement'', et qu'il appelait Â⫠cérémonie du premier livre Ââ». Il s'agissait selon lui d'une coutume employée par la Guilde des Ecrivains pour honorer un nouvel auteur. Cette allusion à une telle cérémonie est certainement une confusion de la part de Gehn, qui provient probablement de son manque involontaire de la culture D'ni, qui avait été détruite lorsqu'il n'était encore q'un enfant. On perçoit de nouveau à cette occasion l'orgueil et la vanité de Gehn, qui, de toute façon, n'était aucunement membre de la Guilde des Ecrivains (étant un apprenti [[Fabricants de Livres|Fabricant de Livres]]). On ne peut absolument pas dire que sa cérémonie relevait une quelconque position officielle. |
Version du 26 septembre 2006 à 20:57
Ces Canons de perfection de l'Art contenaient les plus grands chefs d'oeuvre jamais produits par les membres de la Guilde des Ecrivains. Seuls 93 livres, avec parmi eux les Cinq Grands Classiques de D'ni, sont connus pour avoir été acceptés dans le Canon, durant toute l'histoire de la guilde. La dernière addition connue fà»t l'âge d'Ader Jamat, écrit par Veovis quelques années avant la chute de D'ni. Cela faisait 187 ans qu'aucun nouveau livre n'avait été jugé suffisamment parfait pour être ajouté au Canon.
Le Livre fà»t accepté dans le Canon après l'approbation unanime des sept membres les plus sages et connaisseurs de la guilde. Une cérémonie connue sous le nom de "Korfah V'jah" eut alors lieu pour honorer l'Ecrivain et pour inaugurer le Livre et sa connection. Cette cérémonie officielle se faisait en comité réduit, et était traditionnellement tenu sur l'âge de Yakul, le plus ancien des âges de la guilde, écrit par Ar'tenen, son premier Grand Maitre. Puis une cérémonie bien plus grandiose était célébrée plus tard, publiquement cette fois, sur l'âge nouvellement baptisé.
Il est bon de noter que Gehn tint un "Korfah V'jah" quand Atrus écrivit son premier Age, Commencement, et qu'il appelait Â⫠cérémonie du premier livre Ââ». Il s'agissait selon lui d'une coutume employée par la Guilde des Ecrivains pour honorer un nouvel auteur. Cette allusion à une telle cérémonie est certainement une confusion de la part de Gehn, qui provient probablement de son manque involontaire de la culture D'ni, qui avait été détruite lorsqu'il n'était encore q'un enfant. On perçoit de nouveau à cette occasion l'orgueil et la vanité de Gehn, qui, de toute façon, n'était aucunement membre de la Guilde des Ecrivains (étant un apprenti Fabricant de Livres). On ne peut absolument pas dire que sa cérémonie relevait une quelconque position officielle.